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Témoignage : yoga au travail
… »yoga au travail » : j’ai constaté que la séance de yoga hebdo contribuait à une amélioration de ma concentration non seulement dans les heures qui suivent mais d’une manière plus générale sur la semaine. Il m’est arrivé en particulier d’enchaîner 3h30 de réu non-stop à la suite du yoga sans constater de baisse de régime ou d’attention. J’étais particulièrement réactive. C’était assez « extra-ordinaire pour que je m’en fasse la remarque par la suite.
Je trouve le cours intéressant car varié et avec une bonne alternance de moments dynamiques et de pauses détente. C’est un avantage indéniable que le yoga vienne à nous sur notre lieu de travail. Merci, Pascale
Animal, santé et bien-être – mai – juin 2011
Quelques extraits de presse : Animal, santé et bien-être – n° 25 de mai – juin 2011
« Yoga et équitation, un dialogue différent entre le cavalier et son cheval.
Faire corps avec son cheval c’est le rêve de tout cavalier. Certains y parviennent mais beaucoup ont encore un long chemin à parcourir. Pour se tonifier et se détacher des tensions qui gâchent souvent cette harmonie le yoga adapté à l’équitation est une aide intéressante.
C’est presque par hasard que Sophie Coulon a découvert les effets du yoga sur la manière de monter à cheval… »
Témoignage : petit texte léger sur la respiration
Janvier 2011 – petit texte léger sur la respiration
Yoga, Auffargis, association Equi-libre, professeur Sophie Coulon. Cours du mardi soir. Ambiance concentrée et gaie à la fois. Le cadre est posé.
Parmi les élèves une fargussienne appliquée qui, malgré un certain raidissement des articulations, continue à se raconter qu’elle est d’une souplesse admirable, ça aide à se motiver… De plus, une grande aversion pour tout ce qui est fermé et ce qui enferme. Comme le pranayama. Si, si ! » Pranayamer » pour moi, c’est enfermer puisqu’on bouche les narines alternativement ! On ferme, on clôt, on empêche de.
Alors comment décrire le hérissement de toutes les cellules et le rejet du corps entier lors du passage récemment obligé par la case IRM ? Sans parler du ficelage, du sanglage et du coinçage que subit le patient sommé de ne pas bouger.
« Vous n’allez quand même pas me rentrer là-dedans ? » demande fermement la patience qui a bien entendu coché la réponse « oui » à la question « êtes-vous claustrophobe ? » Non, répond habilement le praticien blasé, IRM du genou = machine à mi-corps. Ouf, longue respiration yogique de soulagement.
Allumage, mise à feu c’est parti. La machine à découper en tranches virtuelles démarre dans un bruit infernal que cache à peine la musique que diffuse le casque. (J’ai horreur des casques). Subrepticement, la planche sur laquelle je suis saucissonnée avance, hoquet par hoquet et je me retrouve finalement au bord du goulot, si je lève les yeux (ne bougez pas !) mon menton est juste à l’entrée du monstre. Je m’étrangle, je me crispe et allez savoir pourquoi, d’un coup je pense à respirer autrement que comme un chien fou. J’applique les consignes de Sophie pour une respiration qui demande un maximum de concentration : inspiration ventre, taille, poitrine, expiration ventre, taille, poitrine. Si tu vagabondes une seconde, c’est fichu, tout est à reprendre. Ventre, taille, poitrine, ventre, taille, poitrine, ventre, taille, poitrine. Ca y est, j’ai le rythme, lent, profond, sûr. Je n’entends plus la machine, je ne sens plus les sangles, je ne bouge rien d’autre que ventre, taille, poitrine et, quand le praticien me dit « c’est terminé », c’est limite si je ne lui assène pas un imprudent « déjà ? « .
Sophie, merci ! (Hélène B.)
Assemblée générale 2010
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